Il se trouve que j'ai un peu bossé cette nuit, donc peu dormi, vadrouillé dans une ville semi-éteinte et détrempée par la pluie.
Le boutiques ouvrent frileusement à partir de 11h, ce qui ne m'empêche pas de succomber à quelques tentations... avant la sieste.
Anecdotes du jour :
Les taxis blancs n'ont pas de compteur.
Il faut impérativement leur demander le prix de la course avant de monter, pour ne pas se trouver face à des coûts hallucinants.
Musée archéologique, calle Justo Sierra.
Me trouvant dans cette rue, j'aborde un couple de représentants de l'ordre et leur demande de quel côté il convient de porter mes pas afin de parvenir au musée sus-nommé.
Le premier ouvre des yeux comme des tortillas, en béant et produisant tout un arsenal de gestes et onomatopées, afin de bien me faire comprendre qu'il n'a jamais entendu parler de ce musée.
Sa compagne, bien plus au fait de l'actualité, m'informe que le musée est en restauration et n'est pas encore ouvert au public. Mouais...
Le système de bus de León ressemble à un métro à ciel ouvert.
Les arrêts sont fixes, et toute descente ou montée est physiquement impossible hors de ces arrêts.
Les gares de bus sont comme des entrées de métro, mais en surface.
On entre d'un côté, s'acquitte de son droit, franchit le portillon et attend la rame idoine.
On peut alors voyager de rame en rame, sans ticket, jusqu'à destination, ou l'on ressortira de la rame dans le terminal approprié.
Arrêt de bus |
Station de bus |
Rencontre de bus |
Allez, pour illustrer le titre de ce chapitre, voici quelques photos en vrac de ces 3 semaines :
Notre chambrette d'amour au Gran Hotel de la ciudad de México |
Spectacle de Noël pour petits et grands |
Recette du café au lait mexicain : Une tasse d'eau chaude agrémentée d'une goutte de lait, et Nescafé à volonté... |
Fleurs de chépaquoi, à faire boullir et à consommer avec des oeufs (?) |
Tête de bovidé fraîchement cueillie. |
Nopalero au travail dans sa plantation de nopales. |
Un paysage qui se mérite. |
Caballo bien garé. |