El Buen Fin (Le bon week-end) est un événement annuel de shopping
introduit en 2011 pour stimuler l’économie mexicaine.
El Buen Fin a lieu le W-E précédent la fête de la révolution (20 novembre)
et s’inspire du fameux Black Friday aux États-Unis.
Pendant ce W-E, les grands magasins offrent des réductions importantes
et sont ouverts plus longtemps.
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| Noter la spécialité du restaurant : yummmm ! |
Maintenant vous faites comme vous voulez, hein...
Plus de 25 ans que je traîne au Mexique et je trouve toujours pleins de trucs à découvrir. Et c'est tant mieux !
Ce soir, en sillonnant le quartier Benito Juárez, on tombe sur un petit resto de trottoir et sommes immédiatement alléchés par deux trompos qui proposent visiblement quelque chose de différent du Pastor traditionnel.
Le nom du restaurant est d'ailleurs explicite : Los Pastorcitos de Sirloin.
Pour faire simple, ce sont des toupies à cuisson verticale qui grillent de l'aloyau de bœuf au lieu du traditionnel pastor de cochon.
Ben c'est fameux !
On a d'ailleurs un peu forcé sur la quantité pour un repas du soir, mais bon, hein, c'est pas tous les jours non plus !
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| Tacos de sirloin |
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| Cuerno especial : cône de chicharron de queso (fromage fondu grillé), farci de tranches d'aloyau grillées, guacamole, oignons, coriandre. |
Novotel World Trade Center Juarez Mexico.
Chambre 1901, bien propre, 19e étage, belle vue sur la ville.
Nous sortons casser une petite croûte au VIP's.
Quand nous revenons, nous remarquons une seringue cachée sous le lavabo de la salle de bains.
Apparemment neuve, aiguille montée et encapuchonnée, mais hors son emballage stérile.
Comme nous ne l'avions pas remarquée en arrivant, nous nous posons des questions semi-paranoïaques.
Du genre "on dépose des preuves bidons et les ripoux débarquent pour une perquisition surprise".
Je vais jeter l'objet dans la poubelle du palier à 22:18.
En l'essuyant pour effacer les empreintes.
Ce message pour servir okazou.
Oaxaca est une très jolie petite ville.
Les gens y sont dans l'ensemble sympas et accueillants pour nouzôtres estrangers pleins de pognon (ainsi que l'on nous catégorise)...
Et les charmantes petites indiennes des rues, souriantes autant qu'attendrissantes, nous vendent à l'émotionnel des choulis ponchos, des capas et autres tissages du coin (coin) made in China, j'ai des preuves, mais j'en parlerai une autre fois.
Aujourd'hui, j'ai envie de vous parler d'un aspect de Oaxaca qui ne figure pas forcément dans les guides.
A chaque fois que je suis venu, je suis toujours tombé sur une manifestation, un sit-in indigène, un défilé, enfin une vie sociale revendicative. Par exemple, ce dimanche, c'étaient les ambulances qui créaient l'évènement autour du zócalo.
Bref, je voulais en venir aux peintures murales contestataires qui ornent les murs de la ciudad. Et qui ne sont pas, à mon sens, dénuées de justesse ni d'humour.
Voyez-vous ?
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| Celui-ci, j'aime bien : Tu veux me faire peur ? Mais tu ne sais pas d'où je viens ! |
Autrement sinon, todo bien gracias. Il me reste un fond de Mezcal d'hier, et je vais m'en occuper illico.
¡ Salud !
...ou "petit cheval blanc", est une peinture rupestre à l'air libre que l'on peut apercevoir depuis la route qui mène de Oaxaca à Mitla, à la hauteur de San Bartolo Soyaltepec, +/- 2 000 m d'altitude. Au dernier recensement, la communauté de SBS comportait 7 (sept) habitants.
Cette peinture est attribuée au peuple Zapotèque, dans les années 3000 avant JC.
Je n'ai pas pu m'en approcher, alors je n'ai que des photos au zoom à proposer, mais elles valent le koudeuil.
Il est clair que l'artiste a voulu représenter quelque chose, et il est aussi incontestable que ce quelque chose est évidemment ce qu'il a voulu représenter. Quelques esprits chagrins prétendront qu'au contraire la signification intrinsèque de l'œuvre se trouve dans un autre registre, mais, à mon avis, ils se trompent.
