Le Mexique est un pays dont j'ai fait la connaissance en 1995, par hasard. Et depuis, je suis resté coincé. 

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samedi 19 janvier 2013

Foto

Là-bas en dessous, Madrid et sa froide grisaille.
Un jour, une hôtesse m'a dit : il fait toujours beau au-dessus des nuages.
C'est pas faux.

vendredi 18 janvier 2013

Cimetière

A Mérida est un grand cimetière, vraiment très grand.
Et assez pimpant sous ce fort soleil yucatèque de décembre.

Code de la route en vigueur entre les tombes.
Quartier calme et styles architecturaux variés.
Jolie photo mais grande tristesse.

mercredi 16 janvier 2013

Des trucs qu'on ne verrait pas...

...si on ne nous les montrait pas :


Magnifique exploration (pour moi) de Mitla (photo ci-dessus) et d'autres environs de Oaxaca grâce à Harry (merci).

mardi 15 janvier 2013

Butin

Lundi 13 : 
Arrivée à Madrid, vol pour Lyon, navette jusqu'à Grenoble, taxi jusqu'à la maison, faire du feu dans la cheminée, rebrancher chauffe-eau et frigo, rebrancher la batterie de la voiture, aller faire des courses, remplir le frigo, brancher la machine informatique et me mettre au boulot.

Mardi 14 :
Lever 15h. Ouvrir les bagages, déballage du butin.
Que voici :


Manquent quelques bricoles,
comme les chemises qui sont restées dans les bottes...

lundi 14 janvier 2013

Mexico - Madrid

Voyage assez agréable.
Avion clean et confortable.
Deux ou trois perturbations sur les 11h de vol.
Ecrans collectifs, hôtesses d'âge mûr.

J'ai comme compagne de voyage une petite mémé souriante et peu bavarde, qui ne tient pas de place et se lève pour aller faire pipi à un rythme régulier, ce qui me permet d'aller me dégourdir les jambes, fouiller dans mon sac, faire pipi à mon tour, aller chercher à boire auprès des hôtesses...
Je mate un bon film sur mon ordi (Django Unchained, le dernier Tarentino, en VO), ce qui m'occupe quasiment 3h.
2 heures de mots croisés, une heure de pauses-repas, quelques petits sommes parsiparla et l'on amorce notre descente sur Madrid.

Normalement, je ne devrais pas stresser pour trouver mon avion : j'ai 3h30 pour changer de terminal.

A Madrid, contrôle sévère à l'immigration.
La queue est longue et les fouilleurs balèzes.
Par hasard, je trouve dans mon blouson un briquet. Je crois bien que c'est aussi un objet interdit en cabine...
Alors je le met dans mon sac, avec le bocouto.

Et ça manque pas, la visionneuse d'écran de contrôle s'excite sur mon sac, me le fait ouvrir et fout le boxon à l'intérieur, entre les sachets de mole rojo, le chocola Abuelita et les sachets de sauce rouge déshydratée...
On quoi cherche, je lui demande-je t-il innocemment ?
— Rien, me répond-elle, ça doit être la nourriture.

Et au revoir M'sieur-Dames.

Héhéhé.

dimanche 13 janvier 2013

Météo

Malgré certaines rumeurs alarmistes, la météo est assez clémente pour la saison.
Je n'irais pas jusqu'à annoncer la canicule, hein, mais rien de bien désagréable.
Voyez plutôt :


Aéroport de México

Alors comme un ballot que je suis, en abordant le contrôle d'embarquement, je m'aperçois que j'ai conservé en poche mon bocouto.
A tout hasard, je le place dans mon sac-cabine, en me préparant psychologiquement à me le faire confisquer, voire tancer vertement.

Eh bien figurez-vous que non !
Je vais par conséquent aborder l'Airbus en possession d'une arme dangereuse et suis donc à même de détourner l'avion vers la destination de mon choix.
Madrid, par exemple.

On verra si l'arme résiste également aux rayons X Madrilènes...

Syncrétisme de bon aloi dans cette assiette,
où les gastronomies bi-nationales se mélangent avec bonheur.
Et puis me voici tout naturellement au restaurant, équipé WiFi.
L'ultime repas que je m'offre sur le sol Mexicain est diététiquement calculé en fonction du régime de transition indispensable à une reprise en douceur des habitudes alimentaires Françaises.
Arrachera, guacamole, salsa verde y papas a la francesa.
Pas con, hein ?

Comme je me trouve en zone d'embarquement, les couverts sont en plastoc, ce qui n'est pas trop agréable pour manger de la viande.
L'espace d'un instant, je caresse l'idée de sortir mon bocouto, mais bon, hein, je vais faire profil bas sur ce coup.

Cette fois, c'est la bonne...

Extinction des feux.
Dimanche : départ à 12h et quelques, destination Madrid puis Lyon.

Je me connecterai pour lire vos messages de condoléances, mais je ne pense pas avoir le temps de bloguer.

Quoi-que, va savoir, hein ?