Le Mexique est un pays dont j'ai fait la connaissance en 1995, par hasard. Et depuis, je suis resté coincé. 

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samedi 25 février 2017

OUI ON PEUT !

Les fins observateurs que vous êtes n'auront pas manqué de noter l'indigence de nos pourritiques professionnels de tous bords.

Nous avons pu constater depuis quelques années, à quelle profondeur nos chers zélus stagnent, englués, dans la fange nauséabonde de leurs petites magouilles.

Seuls quelques irréductibles mal-comprenants leur conservent encore une confiance aveugle (au moins jusqu'au lendemain des élections pestilentielles).

Alors que la solution est à portée de bulletin :


Et pendant ce temps-là, en France...


Amis fonctionnaires, prenez exemple...

Perso, j'ai essayé de multiplier la 7e compagnie au Clair de Lune (Robert Lamoureux) par la 2e Division Blindée (Général Leclerc) et mon échéancier n'en a pas été modifié.

Quant à la 5e colonne (Guerre d'Espagne), elle ne permet point de redéfinir vos erreurs de calculs (rénaux).

Je suis content que vous teniez à ma disposition vos incompétences et vous prie d'agréer ce que vous voulez.

PFFFTTT !

jeudi 23 février 2017

¡ Revolución !

El Corrido de Pancho Villa

Ecoutez le morceau ci-dessus (la Ballade de Pancho Villa) en lisant l'article ci-dessous...

Ce que l’on appelle "la révolution mexicaine" est en fait une suite de coups d’états, assassinats politiques, manifestations populaires et autres guerres civiles dont les dates de départ et d’arrivée ont été fixées à 1910 et 1920, et qui causa la mort de deux millions de personnes, soit 13 % de la population de l’époque.

En gros, c’est Madero qui fit virer Díaz, puis qui fut assassiné par le général Huerta, qui dut s’expatrier face à Carranza aidé par les U.S., par Pancho Villa et par Zapata, lesquels furent finalement défaits par Obregón, ce qui permit à Carranza de devenir président, avant d’être renversé par Obregón, qui devint président à son tour et gouverna pendant 8 ans avant d’être assassiné.

En France, on s’en battait joyeusement les cojones, on avait une guerre quasi mondiale à s’occuper.

Bref, on savait s’amuser, à l’époque, caramba !


Le train, un acteur important de la révolution.
De nos jours, il n'y a quasiment plus de trains au Mexique.
Pancho Villa, toujours parmi les personnalités préférées des Mexicains.
En France, c'est Omar Sy et Yannick Noah...
Vu de France, à la veille de la guerre de 14-18

Femmes dangereuses
Pancho Villa
Cadets du collège militaire
Bifton de l'époque

dimanche 19 février 2017

Cumbia

Article dédicacé à l'amigo Elchel de Mérida.







Bon vous l'aurez compris : la Cumbia sera parisiennement à l'honneur dans les jours qui viennent.

Apparue en Colombie au XVIIe, cette musique / danse à base de tchikitchikitchi évoque irrésistiblement la plage et les tropiques.  

Un style musical qui a essaimé un peu partout en Amérique Latine, par exemple au Mexique, qui produit maintenant sa propre cumbia sonidera, cumbia banda, voire tecnocumbia.

C'est dire si l'on s'est éloigné des premiers accords, qui accompagnaient les veillées funèbres...

Pour les plus courageux d'entre vous (salut Elchel), voici un exemple de cumbia-fusion-rap-bastard-mix-hip-hop-didji-mashup-nawak.

Captain Cumbia dans ses oeuvres :

Let's Go