Le Mexique est un pays dont j'ai fait la connaissance en 1995, par hasard. Et depuis, je suis resté coincé. 

Ce blog est CopyLeft :
Toute reproduction, adaptation, copie, diffusion, intégrale ou partielle, par quelque moyen que ce soit, avec ou sans le consentement de l’auteur, est non seulement autorisée, mais fortement encouragée.

Pour tourner les pages de ce blog :
Utiliser les liens tout en bas "Articles plus récents" ou "Articles plus anciens".

vendredi 31 décembre 2010

Guanajuato

Guanajuato, c'est la capitale de l'état du même nom, à peine plus étendue que SMA.
1:20 depuis San Miguel, puis le bus qui nous laisse à l'arrêt Mercado Hidalgo, sous terre...

J'ai d'abord cru que Guanajuato était une ville souterraine.


J'ai tourné toute la journée en sous-sol et allais commençer à m'enquérir d'un hôtel troglodyte quand m'est apparue l'issue salvatrice :


A peine revenu à la lumière du jour, ambiance marché, comme j'aime.
Chouette marché avec mezzanine, les prix sont plus abordables qu'à San Miguel.


Puis grande balade dans la ville.
Celle-ci s'étale sur plusieurs niveaux : les souterrains, le rez-de-chaussée, et les hauteurs.
On comprend bien le truc sur la photo suivante :


Et puis, si on veut se donner la peine, ça grimpe, ça grimpe, ça grimpe...
De callejones en escaliers, on se retrouve rapidement (?) sur les hauteurs avec une splendide vue sur la ville.


La-bas, surplombant la ville, c'est l'amigo El Pípila, né à San Miguel et qui s'est illustré à Guanajuato.

Et après, faut redescendre, c'est bien aussi...


Dans l'ensemble, une bien belle ville, qui m'a paru plus peuplée que SMA, genre capitale, quoi.
Il y a davantage de commerces et de population dans les rues, et les gens sont (presque) aussi aimables.

Le gros avantage pour ma pomme, c'est que j'ai facilement trouvé à compromiser une valise, objet dont l'acquisition à San Miguel représentait un certain challenge...

Photos BONUS :

Rencontre improbable
Un borracho qui a bien dynamisé mon pozole verde
 
Dans le camión de retour, il y avait des gringos. Les voyez-vous ?
Merci à ma correctrice d'orthographe en ligne.