Lyon-Frankfort, pas de prob.
Pas plus d'1h de retard à l'atterrissage, ce qui m'a permis d'arriver juste à l'heure à la porte B26 comme indiquée sur ma boarding card.
Seulement, c'était l'avion pour Beijing à cette porte.
Le mien, c'est porte C13, à deux km à pied.
Record battu : 10mn pour couvrir la distance.
Frankfort-Mexico, nickel.
Je voyage en compagnie d'un charmant couple Germano-Mexicain et de leur malheureux bambin de 8 mois.
Il fait un mauvais voyage le pauvre chéri et tout le monde en profite à fond.
Arrivée à Mexico impeccable.
Alerté par les mutliples visas mexicains tamponnés sur mon passeport, le suspicieux fonctionnaire de l'immigration flaire la grosse arnaque, peut-être l'affaire de sa vie.
Il me fait subir un interrogatoire en règle puis se barre avec mon passeport.
Me voilà planté devant le guichet déserté sous le regard scrutateur des autres passagers qui, eux, passent l'épreuve sans problème.
Il finit par revenir au bout de 12 minutes, l'air dégoûté.
Coup de tampon, adios.
A la douane, ca roule.
Pas très vite, certes, car trois avions vomissent simultanément leur flot de passagers et forcément, hein, ça ralentit le débit.
Mais bon, le bouton reste au vert.
(Pour ceux qui ne savent pas : après avoir passé les bagages dans le tunnel de détection, l'on doit presser un bouton. Si ça s'allume vert, au revoir monsieur. Si c'est rouge : fouille intégrale des bagages).
Paco et Cucarachaloca commencent à trouver le temps long et sont suffisamment sympas pour attendre un Bern qu'ils ne connaissent pas encore...
Et pis prise de contact comme j'aime : cerveza y tacos al pastor.
Caisse vous voulez-t-il de mejor ?