Dans la tradition du muralisme
mexicain, voilà maintenant que peindre des murs ne suffit plus :
on peint des quartiers !
Pachuca ne ressemble plus à la ville
où j'ai cuisiné le meilleur paste que vous ne consommerez jamais,
sans dec (Cuca et Pako peuvent en témoigner).
Le quartier Palmitas, je n'y suis pas allé.
C'est un coin (coin) qu'il convient de qualifier du pudique vocable de "défavorisé", où la mortalisation criminogénique battait les records locaux.
Financée par le gouvernement et sponsorisée par la Comex, l'opération a coûté un certain prix, a duré quelques temps et avait plusieurs objectifs : le premier, légèrement différent des autres. Le tout réalisé par une compagnie artistique spécialisée.
Promenade filmée dans le quartier,
que je trouve particulièrement pimpant.
Voyez-vous ?
Clikouillez ICI pour voir la video.
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