Ça, c'était mon petit déjeuner de ce matin, dans le marché qui entoure le Terminal Tasqueña,
México DF.
Quand j'ai vu cette patte émerger de mon bouillon de gallina, j'ai immédiatement
pensé à la réflexion de Polo en décembre 2000, à San Cristobal de las Casas :
"le plus grand prédateur de la dinde, c'est le Père Noël."