Je roule dans San Miguel de Allende, il est 10h, le soleil est déjà haut, il fait chaud.
A l'approche des fêtes, la circulation est importante.
Certaines rues à sens unique sont maintenant à double sens, ce qui ne me facilite pas la conduite.
Embouteillage à un croisement... Bon, ce sont des choses qui arrivent.
Devant moi, à côte de moi, derrière moi, des voitures ordinaires, de couleurs variées, des pick ups.
Les portières s'ouvrent...
Des gens ordinaires vêtus en gens ordinaires en descendent, armés de fusils mitrailleurs longs et noirs.
Les passants cessent de passer pour s'accroupir entre les véhicules stationnés.
A l'approche des fêtes, la circulation est importante.
Certaines rues à sens unique sont maintenant à double sens, ce qui ne me facilite pas la conduite.
Embouteillage à un croisement... Bon, ce sont des choses qui arrivent.
Devant moi, à côte de moi, derrière moi, des voitures ordinaires, de couleurs variées, des pick ups.
Les portières s'ouvrent...
Des gens ordinaires vêtus en gens ordinaires en descendent, armés de fusils mitrailleurs longs et noirs.
Les passants cessent de passer pour s'accroupir entre les véhicules stationnés.
Moi je me couche derrière mon volant, en risquant quand même un oeil prudent au-dessus du tableau de bord.
Ça dure une petite minute d'une soixantaine de secondes.
Les mecs armés couvrent les alentours des zieux et du fusil.
Quand l'arme pointe dans ma direction, ça fait quand même un drôle d'effet.
Et pis surgit d'une vague porte cochère un gus menotté encadré par deux civils.
Il est brutalement poussé dans un pick-up, les armes disparaissent, les autos démarrent, les passants se relèvent et se remettent à passer, je me redresse.
Fin de l'incident.