Le Mexique est un pays dont j'ai fait la connaissance en 1995, par hasard. Et depuis, je suis resté coincé. 

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mardi 29 novembre 2016

Vuelta a casa

Le jetlag (arythmie circadienne) associé aux vols retour m'est de plus en plus long à évacuer... Vous croyez que c'est la vieillerie qui frappe à la porte ?

Mais bon, ceci dit (belle abbesse) le vol retour était farpait, ce qui n'est pas toujours le cas, mais on ne va pas se plaindre non plus, hein. 
Je ne sais plus qui disait que l'important n'est pas la destination mais le voyage, et ce n'était certainement pas un pendejo.

Tiens, je vous le narre (car je suis un narrant) :



A 340-600, en parfait état comme neuf (voire dix-douze au moins), rempli seulement aux trois quarts, ce qui est dommage pour la compagnie, mais il se trouve que je m'en passe très bien (de compagnie).
Donc : absence appréciée de co-voyageur et confort augmenté d'autant.


Long survol de l'Atlantique, mais soyez rassurées : l'avion est un quadriréacteur et peut farpaitement voler sur 3, voire 2, moteurs (pendant 22 minutes). 
Il paraît même qu'il peut amérir et flotter (pendant 7 minutes).


Voici-dessus mes places favorites, aussi bien quand je voyage à deux que quand je voyage à un, qui offrent de multiples avantages.
Ne le répétez pas, hein : si ça se sait, je saurai que c'est vous.
  1. Deux sièges seulement dans la rangée centrale, ce qui nous place à bonne distance de la travée et donc nous autorise à étendre les jambes sans nuire aux marcheurs, ni se faire écraser les arpions.
  2. Liberté de mouvement permettant de vadrouiller sans déranger / être dérangé à chaque vadrouillage.
  3. Sièges proches des toilettes (qui constituent la destination privilégiée des déplacements à l'intérieur de l'aéroplane), mais suffisamment éloignés pour ne pas souffrir des désagréments inhérents.
  4. Places situées à l'arrière de l'appareil, ce qui permet de monter à bord parmi les premiers passagers, évitant ainsi le boxon de la cohue des bousculages du bordel de la mélée de l'embarquement.
    Comme, subséquemment, on débarquera les derniers, il aura fallu calculer des temps de transit / connexion appropriés ainsi que des temps de conjugaison concordants, voyez-vous ?
  5. Les places arrières offrent également l'avantage non négligeable de mourir les derniers lorsque l'avion s'écrase.
    Pas con, hein ?


Choix important de films, ce qui est appréciable dans un vol de 11 heures, dont quelques nouvelles nouveautés récentes qui ont l'avantage, sinon d'être de grands moments cinématographiques, d'être nouvellement parues, n'est-ce-pas ?

Bref, todo bién, gracias.