A tout hasard, je le place dans mon sac-cabine, en me préparant psychologiquement à me le faire confisquer, voire tancer vertement.
Eh bien figurez-vous que non !
Je vais par conséquent aborder l'Airbus en possession d'une arme dangereuse et suis donc à même de détourner l'avion vers la destination de mon choix.
Madrid, par exemple.
On verra si l'arme résiste également aux rayons X Madrilènes...
Syncrétisme de bon aloi dans cette assiette, où les gastronomies bi-nationales se mélangent avec bonheur. |
L'ultime repas que je m'offre sur le sol Mexicain est diététiquement calculé en fonction du régime de transition indispensable à une reprise en douceur des habitudes alimentaires Françaises.
Arrachera, guacamole, salsa verde y papas a la francesa.
Pas con, hein ?
Comme je me trouve en zone d'embarquement, les couverts sont en plastoc, ce qui n'est pas trop agréable pour manger de la viande.
L'espace d'un instant, je caresse l'idée de sortir mon bocouto, mais bon, hein, je vais faire profil bas sur ce coup.