A San Miguel de Allende, ville réputée pour sa gringatisation, il y a une banlieue toute proche, le long de la voie ferrée, à 20 mn à pied du centre, où il n'y a aucun étranger.
On se demande bien pourquoi.
Il n'y a pas d'électricité non plus.
Ni d'eau.
Pendant deux jours, nous avons parcouru les zones quasi-désertiques du Guanajuato, à la recherche de comunidades déshéritées.
Aujourd'hui, j'ai fait la connaissance d'une favela urbaine et ça secoue encore plus.
Mon admiration est immense pour les créateurs de La Mano Rosa.
Ce soir, j'ai pas trop le moral.