Dans deux jours, les Français qui votent iront démocratiquement choisir leurs nouveaux maîtres.
Par le biais des alliances contre-natures et des petites magouilles pourritiques, il ne subsiste comme choix que la peste ou le choléra, la petite vérole ayant été quasiment éliminée au premier tour.
D'ores et déjà, il est à craindre que le clan des futurs perdants sème le boxon dans le pays, ainsi qu'en a été proférée la menace sur les rezossossios. Quand les partisans deviennent des fanatiques, la res publica (république) s'éloigne de leurs préoccupations. Un peu comme les supporters de foute qui mettent le feu aux voitures quand ils ont perdu.
Mais bon, comme on dit en Brexitien : wait and see...
En attendant, je vais faire le plein de pâtes et de papier hygiénique.