« La limite des droits et libertés de ceux qui organisent les corridas s’arrête lorsqu’elle se confronte à d’autres droits, affirme Mariana Ruiz, avocate et membre l’association Justicia Justa. Dans ce cas, il s’agit du droit environnemental. »
La liberté de se réunir pour célébrer un événement culturel constitue justement l’argument principal des défenseurs de la corrida. Mario Zulaica, directeur de la Plaza de Toros de Mexico, est optimiste quant au recours concernant la décision d’interdiction définitive :
« Nous ne sommes jamais sortis du cadre légal, il n’existe pas de norme qui nous empêche l’organisation de cette fête culturelle et traditionnelle. »