En l'an 2000, j'avais compromisé quelques masques à un artisan de Chichén Itzá (Yucatán), qui les sculptait en direct live, impressionnant de précision avec ses outils de formes diverses mais tous contondants, et ses mains couturées de cicatrices.
Le devenir de ces masques a été multiple et varié : accrochés au mur, peints ou laissé dans leur jus, cadeaux...
Celui que je vous propose en photo ci-dessous a donc quitté son Yucatán natal en 2000, et n'avait encore jamais connu les effets du refroidissement climatique.
C'est maintenant chose faite, depuis que je l'ai transformé en totem, sur le tronc restant d'un mien sapin que je viens de faire abattre pour des raisons de sécurité.