Mon deuxième, c'est le light, moins hombre,
Mon troisième, c'est le normal, trop diabétique pour mon métabolisme.
Et mon tout est un intervenant majeur dans l'état du Chiapas, au Mexique.
Bon OK, si vous savez que le Coca se compose à 90% d'eau, vous ne savez peut-être pas qu'une de ses premières sources d'approvisionnement n'est autre que la nappe phréatique du Chiapas (Mexique).
Quand on sait qu'il faut deux litres d'eau pour fabriquer un litre de coca, et que les communautés chiapanèques n'ont quasiment pas accès à l'eau potable, on pourrait être amené à se poser des questions sur la déontologie de la CC Company, hein.
Les autochtones dont au sujet de, sont les indiens Tzotzil, et la boisson pétillante que vous avez compris que je cause, est devenue partie intégrante de leur culte.
En rotant, ils expulsent les Mauvais Esprits.
Voyez-vous ?
Par exemple, dans l'église de Chamula (San Juan) ça rote à tout va, pour accompagner le caquètement inquiet des poulets sacrifiés.
Rions un peu avec la misère du monde
Comme dit CC sur son site :
"Nous
avons atteint l'objectif de restituer à la nature
l'eau que nous
utilisons."
C'est exactement ce que je me dis chaque fois je vais pisser.