Plus qu'un fait divers, il s'agit bel et bien d'une tradition socio-culturelle ancrée dans les gènes des autochtones depuis des dizaines d'années.
Les autorités tentent d'occulter la réalité de ces féminicides derrière le rideau de la violence quotidienne générée par la guerre des cartels.
A lire dans Libé :
"Un
SMS - «au secours, je suis en danger» - contenant un lien
renvoyant à la localisation géographique exacte de l’expéditeur
: en secouant son téléphone pendant trois secondes à peine, une
femme percevant un risque d’agression imminente peut déclencher
cette alerte instantanée, via No Estoy Sola («je ne suis
pas seule»), une application lancée début juillet au Mexique.
Et pas n’importe où : cette technologie a été créée par
la mairie de Ciudad Juárez, ville du nord du pays dont le nom était
devenu synonyme de féminicides."