Le Mexique est un pays dont j'ai fait la connaissance en 1995, par hasard. Et depuis, je suis resté coincé. 

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mercredi 11 novembre 2015

Diego Cadenas (III)

(En Anglais James Bond)



Opitaing !

Les dix premières minutes sont à la hauteur de mes attentes impatientes depuis que le bruit se répandait que le nouveau JB avait le Mexique comme toile de fond.

Après un générique somptueux, nous sommes directement accueillis dans une parade de Día de Muertos telle que le DF n'en a certainement jamais connue auparavant (chinois).








On s'éveille dans (l'avenue) Tacuba, sous le Caballito (Charles Quint) en face du Palacio de Minería où, je vous le rappelle, sont exposées quatre balaises météorites (14 tonnes pour la plus volumineuse) qui ont impacté le territoire mexicain je ne sais pas quand.

Par la magie du cinéma, nous sommes transportés illico dans le Gran Hotel de la Ciudad de México, (où j'ai mes habitudes, voyez-vous—photos sur demande) ce qui nous permet d'emprunter le magnifique ascenseur datant des années en noiréblanc (et habituellement fermé aux malheureux visiteurs que nous sommes) puis de pénétrer dans une des chambres de luxe qui nous ont été interdites en janvier de cette année, pour cause de tout complet (je peux facilement faire des phrases plus longues, sur requête et envoi d'un timbre-poste uniquement).

Après que James ait détruit une partie non négligeable du Centro Histórico, nous pénétrons sur le Zócalo par (l'avenue) 20 de Noviembre, face à la cathédrale.
Une extraordinaire cascade hélicoptéresque nous offre alors des vues aériennes de la ville que rien que ça, hein, ça vaut le coup. 
Voyez-vous ?

Après, c'est du James Bond de haute tenue, mais jamais on ne reviendra à México (ce qui nous a fait triste).

Voilà, maintenant vous savez tout.

Pour plus d'informations, n'allez surtout pas lire la critique bidon de Téléramasse, qui, à son habitude, croyait voir un documentaire et n'a pas encore compris ce qu'est un film de divertissement.
A ne pas lire ici.