(En Anglais James Bond)
Opitaing !
Les dix premières minutes sont à la
hauteur de mes attentes impatientes depuis que le bruit se répandait
que le nouveau JB avait le Mexique comme toile de fond.
Après un générique somptueux, nous
sommes directement accueillis dans une parade de Día de Muertos
telle que le DF n'en a certainement jamais connue auparavant
(chinois).
On s'éveille dans (l'avenue) Tacuba,
sous le Caballito (Charles Quint) en face du Palacio de Minería où,
je vous le rappelle, sont exposées quatre balaises météorites (14
tonnes pour la plus volumineuse) qui ont impacté le territoire mexicain
je ne sais pas quand.
Par la magie du cinéma, nous sommes transportés illico dans le Gran Hotel de la Ciudad de México, (où j'ai
mes habitudes, voyez-vous—photos sur demande) ce qui nous permet d'emprunter le
magnifique ascenseur datant des années en noiréblanc (et
habituellement fermé aux malheureux visiteurs que nous sommes) puis
de pénétrer dans une des chambres de luxe qui nous ont été
interdites en janvier de cette année, pour cause de tout complet (je peux facilement faire des phrases plus longues, sur requête et envoi d'un timbre-poste uniquement).
Après que James ait détruit une
partie non négligeable du Centro Histórico, nous pénétrons sur le
Zócalo par (l'avenue) 20 de Noviembre, face à la cathédrale.
Une extraordinaire cascade
hélicoptéresque nous offre alors des vues aériennes de la ville que rien
que ça, hein, ça vaut le coup.
Voyez-vous ?
Voyez-vous ?
Après, c'est du James Bond de haute
tenue, mais jamais on ne reviendra à México (ce qui nous a fait triste).
Voilà, maintenant vous savez tout.
Pour plus d'informations, n'allez
surtout pas lire la critique bidon de Téléramasse, qui, à son
habitude, croyait voir un documentaire et n'a pas encore compris ce
qu'est un film de divertissement.
A ne pas lire ici.