Le Mexique est un pays dont j'ai fait la connaissance en 1995, par hasard. Et depuis, je suis resté coincé. 

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jeudi 4 janvier 2018

Tormenta

Avec une pensée émue pour l'amigo Rick, perdu sur son île

Ici, dans ma montagne, nous n'avons pas de problème particulier avec les marées, les vagues géantes, voir les tsunamis.

Ni avec les mouettes qui chient sur ma voiture, saloperies de mouettes de <CENSURÉ> de <CENSURÉ> qui nous font <CENSURÉ> la <CENSURÉ> avec leur guano acide de <CENSURÉ> !

Non, disais-je avant d'être grossièrement interrompu par une vague (!) de folie passagère.

Ici donc, de par chez nous, c'est davantage le genre boue et glissements de terrain.
C'est bien aussi.

Jugez plutôt :



Sur ce coup, j'ai bien regretté de n'avoir point pris le Samouraï :
Non seulement je serais passé, mais en plus je me serais bien amusé ;-)



Ces poteaux, suspendus dans le néant et retenus par les barbelés 
qu'ils sont supposés eux-mêmes retenir, je trouve que cela confine au surréalisme.
Maintenant ce que j'en dis, hein...

Le fait d'être un peu plus isolé que d'habitude ne me torture point.
Le facteur passera un autre jour, ainsi que les éboueux.
Les Témoins que Rien également, Jehovah leur pardonnera.

Autrement sinon, rien à signaler.


=> Ah si, une foto de dernière minute qui vient de me parvenir 
via notre envoyée plus que spéciale Delfina :


Là c'est moi, qui attend Lila pour son concert de Barcelone en Novembre.
Je lui avais promis une dédicace et une photo de mézigues, 
et j'ai l'habitude de tenir mes promesses.