Ce clip magnifique me ramène 30 ans en
arrrière, sous la dictature d'un certain François, plus imposant
que l'actuel et plus pourri aussi.
A l'époque, Greenpeace se battait
contre les essais nucléaires français à Mururoa, ce qui déplaisait
au despote socialo, qui avait donc envoyé ses services secrets à Auckland pour couler le Rainbow Warrior, navire de Greenpeace en
route pour la Polynésie.
Le 10 juillet 1985, un canot
pneumatique piloté par Gérard Royal (frère de Ségolène) emmène
des nageurs de combat poser des explosifs sous la coque du « Guerrier
Arc-en-ciel ». 1 mort.
Les deux agents de la DGSE (les faux époux Turenge) se feront rapidement gauler par la police Néo-Zélandaise, ayant mené l'affaire comme des guignols.
N'est pas James Bond qui veut, hein...
L'affaire durera longtemps, de
mensonges pourritiques en communiqués merdiatiques, de démissions
bidons en procès clownesques et finalement, Fabius (eh oui) admettra
à la télévision que les services secrets français avaient
effectivement commis l'attentat.
Le ministre de la défense Charles
Hernu démissionnera pour couvrir le président Bite Errante.
La nouvelle Zélande a qualifié cette
action « d'acte terroriste soutenu par un état, un acte de
guerre » et la France lui versera sept millions de dollars de
dommages et intérêts.
En 1987, la France versera à
Greenpeace 8 millions de dollars d'indemnités.