Pour vous réveiller les neurones…
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Le Mexique est un pays dont j'ai fait la connaissance en 1995, par hasard. Et depuis, je suis resté coincé.
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samedi 20 janvier 2018
jeudi 18 janvier 2018
Chia ?
Prononcez Kia ou Tchia, c'est selon.
Cette plante, car c'est une plante, est originaire du Mexique, ce qui lui donne pleinement le droit de figurer dans ce superblog.
Plus ou moins apparentée à la sauge, cette herbacée était déjà consommée par nos amis Aztèques du côté de Teotihuacan, à des fins rituelles et guerrières.
Cortés et ses con-qui-s'adorent, ayant découvert l'usage qui était fait de cette plante, eurent tôt fait d'en proscrire l'usage et donc la culture.
Mouais. C'est ce qui se dit.
Le fait est que, depuis les années 90, la Chia est redevenue fashion, et ses valeurs nutritionnelles sont désormais reconnues : calcium, phosphore, fibres, manganèse, polyphénols anti-oxydants, et chances de gagner au loto multipliées par 75.
J'en profite pour embrasser ma chère Graciela, que j'ai vu ingurgiter des litres de Chia.
Et même pas je savais qu'elle buvait un remède ancestral (chez elle) qui allait devenir une des panacées Vegan du XXIe siècle (chez nous).
Tiens, pour celles qui ont du Chia dans leur placard et qui ne savent pas quoi en faire, voici-dessus une photo de deux excellents compléments gustatifs.
Recette sur demande.
Héhéhé...
Cette plante, car c'est une plante, est originaire du Mexique, ce qui lui donne pleinement le droit de figurer dans ce superblog.
Plus ou moins apparentée à la sauge, cette herbacée était déjà consommée par nos amis Aztèques du côté de Teotihuacan, à des fins rituelles et guerrières.
Cortés et ses con-qui-s'adorent, ayant découvert l'usage qui était fait de cette plante, eurent tôt fait d'en proscrire l'usage et donc la culture.
Mouais. C'est ce qui se dit.
Le fait est que, depuis les années 90, la Chia est redevenue fashion, et ses valeurs nutritionnelles sont désormais reconnues : calcium, phosphore, fibres, manganèse, polyphénols anti-oxydants, et chances de gagner au loto multipliées par 75.
J'en profite pour embrasser ma chère Graciela, que j'ai vu ingurgiter des litres de Chia.
Et même pas je savais qu'elle buvait un remède ancestral (chez elle) qui allait devenir une des panacées Vegan du XXIe siècle (chez nous).
Tiens, pour celles qui ont du Chia dans leur placard et qui ne savent pas quoi en faire, voici-dessus une photo de deux excellents compléments gustatifs.
Recette sur demande.
Héhéhé...
© 2018 Delfina
Bédé
Bientôt entre mes manos :
Je suis bien content, car j'aime les bédés, j'aime l'histoire du Mexique, j'aime les westerns, et en plus j'aime bien être content.
Vous vous rendez-vous-t-il compte ?
Le pitch :
"Le premier homme blanc qui rencontra les
Indiens était un noir.
Au XVIe siècle, un jeune prêtre
espagnol est envoyé par le pape vers le Nouveau Monde afin
d'évangéliser les Indiens. Il part de Mexico, accompagné d'un
esclave noir affranchi et d'une princesse Aztèque, et doit se rendre
en territoire apache. À leurs trousses, une bande sanguinaire bien
décidée à arrêter la princesse qui, elle, tente d'échapper à un
mariage forcé avec une brute cruelle. Une aventure somptueuse dans
des décors magnifiques."
Et à paraître :
Vous vous rendez-vous-t-il compte ?
mardi 16 janvier 2018
Et pis Fanny
L’épiphanie est
une tradition chrétienne dont je me tape le derrière par terre, si
vous voyez.
Cette fête est
censée rendre hommage au Messie (mais oui) et tout le barda des
Roimages avec leurs cadeaux à la con, du genre or, encens et myrrhe.
Bon, l’or, je vois
à peu près à quoi ça peut servir.
L’encens aussi,
surtout le copal, mais bon, hein, comme cadeau, autant offrir une
bougie parfumée, hein...
En ce qui concerne la myrrhe, je ne vois pas trop la différence avec l'encens…
« La myrrhe
est une gomme-résine aromatique produite par l'Arbre à myrrhe
(Commiphora myrrha ou Commiphora molmol), appelé aussi « myrrhe ».
Une gomme à peu près similaire, le baume de La Mecque, est produite
par Commiphora opobalsamum. »
Bref, de mon jeune
temps, les fèves que l’on trouvait dans les galettes prévues à
cet effet (et sponsorisées par les dentistes), offraient des
personnages liés directement à l’ancestralité religieuse du
gâteau.
Du genre petijésu,
viergemari, roimaj, le beufélane, et autres conneries de bon aloi.
Mais au fil du
temps, non, c’est plus ça.
On continue à
consommer la galette, mais on n’y trouve plus les personnages
symboliques traditionnels.
Sans doute au nom du nouveau principe
de laïcité (tout ce qui n'est pas halal n'est pas laïque).
Tout en préservant le principe économique du vendage de frangipane.
Tout ça pour vous
dire que j’ai mangé ma galette aujourd’hui (en solde) et que la
fève qui a faill me casser une dent, ben la voici :
Batman !
Vous allez voir que
bientôt ça sera Musulman qui se cachera dans la galette des Rois...
Hihihi.
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