Un an après l’incendie d’un centre de détention qui a provoqué la mort de 40 migrants, un rapport récent confirme la négligence des autorités dans cette tragédie, que les ONG attribuent à une politique migratoire militarisée, mise en place à la demande de Washington.
Extrait :
"Inquiets quant à une possible expulsion et échaudés par les réflexions xénophobes des gardiens, des détenus ont empilé des couchettes puis y ont mis le feu.
Alors que les flammes et la fumée se propageaient dans le bâtiment, qui n’avait pas d’extincteurs, les agents ont abandonné les migrants dans leur cellule verrouillée, insensibles aux cris d’un jeune Vénézuélien qui suppliait de ne pas les laisser mourir là."