N'oublions jamais

Rosca y tamales

Chez nous, c'est la Galette des rois.
Au Mexique, c'est la Rosca de Reyes.
On la mange le même jour, 6 janvier (Epiphanie).

De frangipane point, mais une sorte de pogne / brioche pluzoumoins fleurdorangée, décorée de fruits confits et c'est très chouli et très sec. A consommer avec un chocolat chaud.

Dedans, il y a une figurine en plastoc, que souvent c'est un Jésus. Celui qui a la déveine de se casser une dent sur le fils de Dieu aura la lourde responsabilité d'inviter tous les participants à manger des tamales le 2 février.

C'est toujours une grande fête au Mexique, pays très catholique.
Sur le Zócalo, grande place de México, une traditionnelle rosca géante est offerte au bon peuple. Cette année, la fête est gâchée par la faute de M. Omicron, alors pas de rosca géante.

La nôtre, préparée avec amour et ferveur par une tienda latina voisine,

où nous avons désormais nos habitudes.

La rosca du Zócalo, avant le Covid.

Est-ce bien raisonnable ?

J'ai failli intituler ce post "Au fou !", 
mais je me suis dit que quand même, aussi, non plus,
des fois...

Hein ?