L'avis d'Ekon

Le premier sinistre, qui ne manque pas une occasion de 

se foutre de votre gueule, 

a déclaré avec le plus grand sérieux, 

à propos de la reprise de la dette pharaonique 

de la SNCF par l'état :

"il n'y aura pas de nouvel impôt pour financer l'opération, 

mais ce sera bien une charge supplémentaire 

pour le contribuable."

Démerdez-vous avec ça.

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Saine lecture

Je vous parle aujourd'hui d'un roman des années 80, format poche, sorti directement des archives poussiéreuses de ma bibliothèque, qui m'avait enchanté dans ces temps reculés, et qui s'apprête à reproduire le phénomène.

Comme je vous aime bien, je vous en offre la première page :

Ça le fait, non ?
(si vous me le demandez gentiment, je vous donnerai le titre et les coordonnées de l'ouvrage).

Cinoche

Gringo est un film récent (2018), à ne pas confondre avec Kill The Gringo (2012, Mel Gibson).

L'histoire se passe également au Mexique, ce qui donne à ce film la privilégieuse présentation qui suit.

Gringo donc se passe en majorité au Mexique, histoire embrouillée entre le patron d'un laboratoire pharmaceutique étazunien et un cartel chicano qui utilise ses produits à des fins narcoteuses, ou quelque chose dans le genre.
Au début, le film hésite entre comédie et thriller, et à la fin, il oscille entre thriller et comédie.
Sans oublier le milieu, qui balance franchement entre comédie et thriller.

Le fait est que j'ai eu le plaisir d'observer dans ce film des décors urbains et semi-urbains que j'ai l'impression d'avoir parcourus au cours de mes pérégrinations mexicaines, ce qui contribue à créer une ambiance toutafé crédible.
Pour ceux qui croient que le Mexique est une immense plage, fuyez : ce film n'est pas pour vous.

Autrement sinon, un film regardable sans prise de tête et bien interprété.
A noter, dans le rôle de la gentille blondinette, la fille de Michael Jackson (Paris Jackson), plus blanche que son père doit l'être devenu à l'heure actuelle.

Le patron du cartel (Carlos Corona) est également farpait dans son rôle de très très méchant.

Et les petits margoulins de l'hôtel...
Mais bon, je ne vais pas tout vous narrer, hein, même si vous savez que je suis un narrant.

Papy

De sources sûres, le Mexicain Manuel Garcia Hernandez est le plus vieil homme au monde.

C'est a Ciudad Juarez qu'il affiche ses 121 printemps, en affirmant se sentir "aussi bien qu'à 80 ans".

Né en 1896, Manuel a vu défiler 22 présidents, mais n'a pas encore battu le record moonnndial de longévité, détenu par la Française Jeanne Calment.
Cocorico.

Aguacate

Une information de Don Felipe de Mérida.

Je ne sais pas si le truc fonctionne avec les avocats de chez nous 

(qui viennent parfois du Mexique), 

mais je vais tenter d'ici pas longtemps.

¡ Salud !

C'est en 2005 qu'un groupe de joyeux alcooliques décida de créer "La Journée De l'Ivrogne".
Leur solide argumentation repose sur le fait qu'il existe déjà une journée de la femme, des mères, des pères, de l'écologie —entr'autres— et qu'il est discriminatoire de ne pas avoir une journée bien à eux.
La date a été empiriquement fixée au 20 mai.

De nos jours, les rézossossios se font l'écho de cette revendication, en oubliant de rappeler que l'alcool est la principale cause de mortalité des jeunes mexicains de 15 à 30 ans.

San Cristobal a 490 ans

San Cristobal de las Casas (San Cris pour les intimes) a en effet été fondée en 1528, moins de 10 ans après le débarquement de Cortés et de son gang.
Ce qui en fait l'une des plus ancienne ville de mésoamérique.
Et un de mes premiers coup de foudre mexicain (voir ICI)

Du haut de ses 2120 mètres d'altitude, elle domine l'état du Chiapas dont elle fût capitale un temps, et dont elle est toujours considérée comme capitale culturelle, ce que je confirme véhémentement.

Une information de Cabeza de Hormiga, à lire ICI