Sans parler d'explosions proprement dites, le volume de cendres expulsées était important et recouvrait le sol d'une épaisse couche grise à Puebla, Amecameca et autres pueblos environnants.
Le 6 décembre au soir, nous nous trouvions à Polanco, quartier huppé de México.
Devant un luxueux hôtel, un laser balayait le ciel de son puissant pinceau lumineux.
En levant les yeux, j'ai pu apprécier la quantité de poussière volcanique présente dans l'air que nous respirions...
Le Popo se trouve à 70 km de México et parfois, du fait des courants atmosphériques, on constate davantage de retombées au DF qu'au-dessous du volcan.