Depuis, j'y suis retourné deux fois, constatant un peu plus à chaque visite les ravages de la touristisation galopante avec une mention spéciale pour l'arrivée des taxivélos.
(Voir ICI ma visite de 2008).
Pour tout dire, je ne retrouve même pas l'entrée du site.
La grande place avec les boutiques d'artisanat-souvenir a disparu, les cars de touristes qui occupaient tout le centre de la place se contentent désormais de déposer leur chargement au bord de la route et de repartir illico.
Pour ceux qui n'ont pas encore compris, le coin (coin) a été fortement touché par les intempéries de septembre 2013.
3 mois plus tard les dégâts sont encore là.
Je vous rappelle le passage des ouragans Ingrid et Manuel et les fortes précipitations qui avaient suivi.
Le Quintana Roo n'a pas été l'état le plus touché, mais quand même, hein...
Je trouvais ça zarbi, les arbres avec les pieds dans l'eau, style mangrove... |
Et le cocodrilo du mauvais côté de la route, au milieu des bouteilles en plastique... |
Le parking des bus... |
Une boutique sinistrée |
Restaurant, bar, piscine... |
Guichet |
C'est certes bien triste, mais au moins l'intérieur du site n'est pas touché.
Alors on a quand même fait une chouette visite.
Perturbé que j'étais par la mauvaise surprise du grabuge extérieur, figurez-vous que l'on s'est perdu et qu'une nouvelle fois je me suis vu contraint de m'enquérir du chemin.
Pour trouver la Grande Pyramide.
Ça fait sérieux, tiens !
Pour info, Tulum-Cobá n'est pas une ligne particulièrement bien desservie.
Si l'on n'est pas fan de la conduite totomobile, le bus est gérable mais il n'y en a que 3 par jour, avec donc des contraintes horaires, surtout pour le retour.
Nous choisirons de revenir en taxi, plus rapide, plus confortable, plus flexible, plus cher.
Mais bon, quand on a faim, hein...
Nous choisirons de revenir en taxi, plus rapide, plus confortable, plus flexible, plus cher.
Mais bon, quand on a faim, hein...