En Nahuatl, ça veut dire Encens.
Et ça tombe bien, c'est sa principale utilisation au Mexique, même si on le trouve
majoritairement en Afrique.
Pas de célébration religieuse sans copal.
Son odeur typique traîne un peu partout : dans les églises, dans les maisons et surtout
lors des "limpias", cérémonies de "nettoyage" du corps, de l'âme, des maisons etc…
Pour faire brûler cette résine fossile, c'est toute une affaire :
Il faut des carboncitos (petits morceaux de charbon de bois) et disposer sur la braise
des éclats de copal.
Depuis quelques années, j'ai trouvé plus simple :
Sous forme de bâtonnets que l'on n'a plus qu'à allumer.
Ça perd un peu de son charme, mais c'est plus pratique.
Ça s'achète sur les marchés et dans les tiendas de bondieuseries, et il existe deux qualités :
100% copal ou mélangé.
Copal brut et carboncitos
Encens de copal en fin de combustion
Tout savoir sur le copal ICI